Think! Evidence

L’évaluation de la résolution de problèmes dans un cours de Mécanique pour ingénieurs : une comparaison entre deux méthodes

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dc.creator Morin Maxim
dc.creator Gervais Thomas
dc.creator Ménard David
dc.date 2013-07-01T00:00:00Z
dc.date.accessioned 2015-07-20T22:07:18Z
dc.date.available 2015-07-20T22:07:18Z
dc.identifier 10.1051/j3ea/2013014
dc.identifier 1638-5705
dc.identifier https://doaj.org/article/f53b7f6364c746f1ba85263ce40c0c86
dc.identifier.uri http://evidence.thinkportal.org/handle/123456789/11120
dc.identifier.uri https://doaj.org/article/f53b7f6364c746f1ba85263ce40c0c86
dc.description Les programmes de formation au génie accordent beaucoup d’attention au développement de la capacité des étudiants à résoudre des problèmes, mais rares sont les travaux de recherche qui se sont penchés sur l’évaluation de cette compétence. Il faut constater que l’évaluation dans les cours centrés sur la résolution de problèmes suit générale-ment une approche classique, où l’on demande aux correcteurs d’élaborer leur barème de correction. Pourtant, d’autres stratégies telles que le recours à des grilles à échelles descriptives sont propices à soutenir cette démarche de correction, et ce dans le but de rendre l’évaluation plus juste et équitable. Cette étude consiste d’une part à développer des grilles de correction pour un cours de mécanique pour ingénieurs et d’autre part, à comparer la méthode de correction classique et la méthode faisant usage de grilles. Lors de la phase d’expérimentation, quatre correcteurs ont corrigé des échantillons identiques de solutions d’étudiants selon les deux méthodes, puis ils ont été interviewés. Les résultats de la correction montrent que l’utilisation des grilles ne réduit pas la variabilité du degré de sévérité des correcteurs. D’autre part, les données des entretiens signalent que le choix d’une méthode de correction n’influence pas forcément les interprétations des correcteurs qui ne repèrent pas les mêmes erreurs et ne leur accordent pas la même importance. En définitive, les grilles à échelles descriptives forment un bon point de départ pour harmoniser les pratiques de correction, mais elles doivent être accompagnées d’une formation et d’un soutien appropriés.
dc.language French
dc.publisher EDP Sciences
dc.relation http://dx.doi.org/10.1051/j3ea/2013014
dc.relation https://doaj.org/toc/1638-5705
dc.rights CC BY
dc.source J3eA : Journal sur l'Enseignement des Sciences et Technologies de l'Information et des Systèmes, Vol 12, p 0014 (2013)
dc.subject résolution de problèmes
dc.subject évaluation
dc.subject grille à échelle descriptive
dc.subject mécanique
dc.subject Special aspects of education
dc.subject LC8-6691
dc.subject Education
dc.subject L
dc.subject DOAJ:Education
dc.subject DOAJ:Social Sciences
dc.subject Special aspects of education
dc.subject LC8-6691
dc.subject Education
dc.subject L
dc.subject DOAJ:Education
dc.subject DOAJ:Social Sciences
dc.subject Special aspects of education
dc.subject LC8-6691
dc.subject Education
dc.subject L
dc.subject Special aspects of education
dc.subject LC8-6691
dc.subject Education
dc.subject L
dc.subject Special aspects of education
dc.subject LC8-6691
dc.subject Education
dc.subject L
dc.title L’évaluation de la résolution de problèmes dans un cours de Mécanique pour ingénieurs : une comparaison entre deux méthodes
dc.type Article


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